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THE LAST BAND IN TOWN plays THE CLASH à Paris : compte rendu

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Message  GUIBERT FRANCOIS Dim 8 Oct - 17:28

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• Page spéciale

« Compte rendu détaillé du concert

de THE LAST BAND IN TOWN “plays THE CLASH !” (“Radio Clash sur Paris”)

le 9 septembre 2017 à La Maroquinerie (Paris) »



sur ce lien à copier-coller :
http://lachanteusemariefrance.fr.gd/THE-LAST-BAND-IN-TOWN-plays-THE-CLASH--k1--g-Radio-Clash-sur-Paris-g--k2--le-9-septembre-2017-a-LA-MAROQUINERIE--k1-Paris-k2---d--compte-rendu-.-.htm



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THE LAST BAND IN TOWN “plays THE CLASH !”

dans le cadre de la soirée “Radio Clash sur Paris / 40 ans de punk rock”

le samedi 9 septembre 2017 de 21h15 à 22h30

à La Maroquinerie (Paris) :


Prestation très convaincante et réussie de The Last Band In Town (TLBIT, groupe d’Angers) pour la première fois dans la capitale. Soixante-quinze minutes impeccables et enthousiasmantes. Pas de naphtaline glauque, façon “Allons au musée de la musique rebelle”. On assiste à un authentique concert de rock’n’roll. Peut-être le plus bel hommage vivant à Joe Strummer, Mick Jones, Paul Simonon, Topper Headon.

Punk carré (“Clash City Rockers”, “Garageland”, “Know Your Rights”). Dub street rock tendance Don Letts et Mikey Dread (“One More Time” + “One More Dub”). Reggae punky (“White Man in Hammersmith Palais”). Classic pop chic (“Train in Vain”). Rock héroïque et brillant (“London Calling”, “Clampdown”). Du Mano Negra latino rock avant l’heure (“Should I Stay or Should I Go”). Fougue juvénile de 1977/1978 (“I Fought the Law”, “Complete Control”), parfois sous influence hard music heureusement réfrénée (“Safe European Home”, “Tommy Gun”).

Ils reprennent même, avec brio et sans boîte à rythmes, le seul titre valable de l’inécoutable album fouillis “Cut the Crap” (1985, sans Mick Jones et Topper Headon) : “This is England”. “Hate & War” et “Koka Kola” sont les deux chansons d’intérêt mineur qui pourraient être évacuées de la set list.

Chaque spectateur ou spectatrice trouvera logiquement dommage que le Band ne joue pas telle chanson, tel hit. Me concernant : “Bankrobber”, ma chanson fav’ numéro 1 du répertoire clashien, et “Rock the Casbah”. Pour d’autres, ce sera “White Riot” ou “London’s Burning”. Ou encore “The Call Up”, “Radio Clash”, et ainsi de suite. Comme le dit sur scène le chanteur : « Il y en aura forcément qui ne seront pas satisfaits. La tentation, c’est de jouer tous les morceaux. Mais on manque de temps. »

Dans ses interprétations, TLBIT garde pile poil la richesse mélodique, textuelle, musicale des compositions de Joe Strummer (paroles) et Mick Jones (musique). Officiellement cosignées The Clash à partir de l’album “Sandinista !”.

Les musiciens de TLBIT, tous aguerris, connaissent par cœur les détails sonores de chaque seconde de toutes les chansons clashiennes. Que ce soit à la basse (“The Magnificent Seven”, “The Guns of Brixton”), la guitare, la batterie. La façon de chanter chaque vers dans l’esprit Joe Strummer, de faire les chœurs.

Et lorsque sur les originaux, il s’agit de sons de flûtes de Pan (“Somebody Got Murdered”) ou de piano/clavier de Mickey Gallagher, ils se débrouillent pour les intégrer. Par exemple, à travers un solo de guitare.

Ils jouent toutes ces chansons magiques, écoutées des milliers de fois sur disque, comme s’ils les avaient écrites eux-mêmes : avec énergie, foi, spontanéité, envie. Sans que cela soit du copier-coller scolaire ou juste professionnel. Tout en étant, sur le plan technique, d’excellents musiciens. Qui conservent leur enthousiasme de jeunesse.

Les fans des Clash peuvent aller en toute confiance aux concerts de The Last Band In Town. Ils seront comblés. Et auront peut-être même l’impression d’avoir assisté à un concert des vrais Clash.

The Last Band In Town a tout compris à la profondeur et la vitalité des chansons éternelles des Clash. Deux interventions toutes simples sur scène, entre deux titres, résument le très bon état d’esprit rock et combatif de TLBIT :

— « Merci ! Merci surtout pour les Clash. Nous, on n’y est pour rien. »

(© le chanteur)

— « Merci ! C’est cool ! On est juste des fans de musique, et ça fait vraiment plaisir. »
(© le bassiste à la toute fin du concert, en réponse aux applaudissements nourris et aux hurra hurra hups)

François Guibert
(1er octobre 2017)

N.B. : The Last Band In Town, c’est Jean-Hugues Malnar (chant), Florian Chereau (guitare principale, chant sur “Should I Stay…”), Frédéric Bellanger (seconde guitare), Mathieu Bablee (basse), Guillaume Rousé (batterie). Leurs précédents groupent se nomment La Ruda, Zenzile, Casbah Club ou encore La Phaze.


Set list du 9 septembre 2017 :


• “London Calling”

• “Safe European Home”

• ”Clash City Rockers”

• “This is England”

• “Know Your Rights”

• “Working for the Clampdown”

•  “Tommy Gun”

• “Somebody Got Murdered”

• “Train in Vain”

• “The Magnificent Seven”

• “White Man in Hammersmith Palais”

• “Hate and War”

• “Garageland”

• “The Guns of Brixton”

• “Koka Kola”

• “I Fought the Law”

• “One More Time” + “One More dub”

• “Complete Control”

• “Should I Stay or Sould I Go”


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